Écrivain

Portraits de Max Fullenbaum par Albana Ejupi
Portraits de Max Fullenbaum par Albana Ejupi

12 août 1993 : Lettre du professeur Didier Sicard à la réception du tapuscrit de mohair :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Je comprends ! Que vous ayez tout abandonné pour écrire ! C’est évident, vous êtes de ceux qui doivent écrire. C’est si rare. C’est un silence lourd, comme ce silence de dimanche dernier au matin où je me suis recueilli devant le wagon de Drancy. J’ai une passion absolue pour Paul Celan. J’ai retrouvé dans ces écrits, les vôtres, l’émotion. « Avant » comme si on pouvait écrire après Auschwitz mais une écriture de cette exigence…. Il faut publier ces textes… »


5 septembre 1993 : Lettre de Didier Sicard :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Je suis en proximité avec vos mots qui éclatent, légers et implacables. La force de l’écriture. Je suis content que vous ayez découvert Celan qui est votre compagnon… »


13 septembre 1993 : Lettre d’Emmanuel Hirsch, responsable à France Culture, à la réception de mohair :

« Je l’ai lu avec beaucoup d’intérêt. Il est riche et dense, en fait infiniment profond… Plus tard, à sa parution, nous pourrons en parler sur France Culture… »


4 octobre 1993 : Lettre de Jacques Bril, psychanalyste, à la réception du tapuscrit de mohair :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Votre texte m’a bouleversé ; je l’ai trouvé magnifique, tant sur le plan de la sensibilité que de la langue, de la profondeur du message que de la qualité de son expression. Sublime. »


18 novembre 1993 : Lettre de Pierre Chaunu :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« La rediffusion du « bon plaisir » me vaut votre bouleversant message. Oui, la mort nous assiège, elle nous guette sournoisement. Mais je pense que chaque instant contient potentiellement la totalité ; parfois nous avons l’impression d’entendre la voix qui dit jadis à Moïse : je vous aime. Vous l’entendrez un jour. Je lui demande qu’elle se fasse entendre et je vous dis ma confraternité chaleureuse… »


27 janvier 1994 : Lettre de Pierre Chaunu à la réception du tapuscrit de mohair :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Vous êtes sur le chemin de la vérité. Notre Dieu est celui qui fait appel à la mémoire. A Moïse en disant je suis le dieu de tes Pères, il dit : Tache de te souvenir et à Moïse qui lui demande une preuve, il dit : fais et ensuite tu verras. Le Rabbi dus Christis est sur cette ligne… Le Transcendant… vient de l’instant… et c’est l’instant arrêté qui fait le pont entre le qui s’écoule et le point à le voir s’écouler. Tout exercice de mémoire est une forme de prière. Merci de vous souvenir. MERCI de vous souvenir… c’est le chemin qui conduit vers celui que nous appelons en Français depuis 1537, l’Eternel… »


23 avril 1994 : Lettre de Pierre Chaunu, à l’annonce de la parution prochaine du « petit livre des casseurs » aux éditions Mille et une Nuits le 3 juin :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Enfin une vraie bonne nouvelle. Merci de votre amitié. Vivent les renégats et vive le 3 juin… »


25 avril 1994 : Lettre du galeriste Claude Bernard de New-York, à la suite d’un article sur le peintre russe Edik Schteinberg (dont un tableau inspire un fragment de mohair) :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Demain exposition de Schteinberg à la première foire de New-York avec présentation d’un livre de poésie de Brodsky.
Merci, cher ami, de votre beau texte. J’ai été très ému par votre discrète approche de l’œuvre de Schteinberg. Vous avez admirablement saisi son message, son contenu avec une pudeur et une distance si lucide. Tout cela avec la plus grande simplicité… Merci, merci. Nous devons faire une exposition de lui au printemps. Pourrions nous utiliser ce texte si vous êtes d’accord ainsi que l’artiste ? »


28 mai 1994 : Lettre de Jean Paget, Directeur à la galerie Claude Bernard :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

J’avais déjà lu votre texte sur Steinberg, et c’est depuis longtemps, un des rares textes que je trouve en totale osmose avec son sujet. Rien n’est plus difficile que d’écrire simplement, avec profondeur et poésie sur le sujet.
Je viens de lire votre « petit livre des casseurs » avec le même étonnement admiratif. Vous avez donné là quelque chose de très neuf et de très humain… »


22 juillet 1994 : Lettre de Jean Paget, directeur de la galerie Claude Bernard.

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Votre texte (mohair) m’a profondément touché, car il se situe justement entre persévérance de mémoire et rejet de l’oubli, avec les moyens de l’extrême pudeur. Cette mort constamment non dite, mais plus que dite, je pense que par là vous évitez l’écueil que l’on signale à ceux qui parlent de l’Holocauste, de l’évoquer trop avec des moyens qu’une telle horreur interdit. Mais votre texte suggère l’horreur avec une rigueur qui fait frissonner, et ce sacrifice « en suspens » impressionne.
Vous pouvez me compter comme le sixième de vos lecteurs ou j’espère le septième car je crois que le « sept » est un chiffre sacré qui porte bonheur. Je vous dis mille choses affectueuses. »


16 septembre 1994 : Parution dans le Le Monde des livres :

« Max Fullenbaum : le Petit Livre des Casseurs. – Forte de son succès de librairie, la maison d’édition des Mille et Une Nuits, qui publie des livres à 10 francs, a décidé, depuis le mois de février 1994, de s’ouvrir aux créateurs contemporains. Le Petit Livre des casseurs de Max Fullenbaum est le quatrième des textes inédits de cette nouvelle collection intitulée « Les Petits Libres ». Dans ce petit conte philosophique, l’auteur dépeint l’atmosphère de la banlieue qu’il considère comme une source de vitalité dans une démocratie malade. Donnant un sens à l’action des casseurs, il invite à une réflexion sur « le fondement de la société ». (Les Mille et Une Nuits, 61 P. 10 F). »


9 janvier 1995 : Lettre des éditions Robert Laffont à la suite de l’envoi du tapuscrit du « Méconnaissant » récit de sociologie individuelle :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« … Il est évident que ce texte mérite d’être publié – intelligent et intéressant – mais il est nécessaire de l’éditer dans un cadre éditorial précis (collection) et chez un éditeur qui privilégie les sciences humaines.

Je ne saurais trop vous conseiller de l’envoyer aux Editions du Seuil, La Découverte, pourquoi pas Odile Jacob ou La Différence. »


14 janvier 1995 : Lettre de John E. Jackson, conférencier sur Paul Celan au Collège de France à la réception du tapuscrit de mohair :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« On ne peut pas en effet entraver le désir d’écrire qui monte d’une profondeur en soi que l’on ne soupçonnait pas. Et je comprends donc que vous disiez que c’est «  à votre grand étonnement » que le texte surgi ait concerné l’holocauste. Sans doute est-ce une composante de l’identité juive contemporaine de ne pouvoir exister sans cette dimension mémorielle plus large que soi. Et je comprends aussi que, butant sur cette mémoire si impossible à dire vous ayez buté d’emblée sur cette difficulté de donner au langage la « lettre perdue » (Nerval) sans laquelle il risque, c’est le cas de le dire, de rester lettre morte. J’ai ressenti une nouvelle fois à vous lire combien la douleur était le cœur secret et authentique de tant d’entre nous. »


25 mars 1995 : Invitation par le Musée d’Art et d’Histoire de Poissy à présenter les œuvres d’Ernest et Charles Meissonnier dans le cadre de la journée porte ouverte des Musées des Yvelines.


10 août 1995 : Lettre de Georges Coppel à la réception du tapuscrit de mohair :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« … Je vous ai dit (mais l’ai-je dit assez clairement) que la présentation des pages est une forme d’art plastique extraordinairement nouvelle ? Inventive : il n’y a pas deux compositions semblables. Fraîche comme l’innocence et forte comme la justesse. Et les phrases : certaines sont d’un bonheur fulgurant.
… J’ai été très sensible au rythme, à la respiration. Y compris aux alexandrins que vous glissez parfois dans des vers à un hémistiche :

empreinte à drap le corps
du mouvement fini
sous l’amas du linceul

ou à un demi

l’haleine de la mort

ou en quatre vers

cheveux
éparpillés
en matelas
de laine

en deux

la pelote de laine
dans l’antre de mère

mais je n’aurai jamais fini cette lettre si je devais les débusquer sous toutes leurs formes (cette variété est une des beautés de votre grand poème)…
et pour rompre le rythme, ici et là, une phrase « blanche » mise en forme de vers :

à la mort de son frère
elle a pris des ciseaux
et tailladé ses cheveux


5 juillet 1996 : Lettre de Yannick Haenel, responsable de l’Art du Bref, depuis auteur célébré de « Jan Karski » :

« Bien reçu votre Mohair, ces stèles qui s’inscrivent comme des textes ardents. J’ai une idée : j’aimerais publier la stèle qui débute par « chaque mot que j’écris… » dans l’Art du Bref en octobre. Etes-vous d’accord ? »

Cette « stèle » sera publiée dans l’Art du Bref.


29 mars 1996 : Lettre de Yannick Haenel à la réception du petit livre des casseurs :

« Merci pour vos textes, pour ce précieux petit livre de combat… Je vous fais signe ces jours-ci pour vos récits qui m’intéressent beaucoup notamment Kafka… »

Kafka sera publié dans l’Art du Bref.


16 juillet au 3 août 1996 : exposition murale de mohair dans une galerie de la rue de Seine à Paris. Cette exposition dans un lieu réduit se veut être la maquette d’une exposition monumentale. Une vidéo d’amateur est réalisée avec un entretien entre Julio Maruri, poète et peintre espagnol, et Max Fullenbaum.


1997 : Solo le Bègue, farce inédite de Max Fullenbaum, est présentée au Festival de Lausanne en Suisse par la troupe de Benjamin Knobil (9 représentations).


20 novembre 1997 : lettre d’Enzo Traverso, historien spécialiste de la Shoah à la réception du « petit livre des casseurs » :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Contrairement à moi qui produis des essais très austères, vous êtes un vai écrivain. Votre texte est traversé d’un bout à l’autre par une force subversive que je trouve fascinante… »


3 décembre 1997 : lettre d’Enzo Traverso :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« J’ai parcouru « Mohair » qui m’a replongé dans un univers poétique dont je croyais avoir pris congé avec Celan. Ma première impression est celle d’un texte poétique très dense et profond… »


8 juin 1998 : Lettre, signée Roger Dosse, des éditions de l’Aube :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« J’ai lu avec le plus grand intérêt et beaucoup d’émotion le manuscrit de « Mohair ».

L’Aube serait très désireuse de le publier. Mais nos moyens sont encore faibles et notre programmation de l’année plus que chargée… Permettez-moi de vous féliciter d’avoir écrit ce texte… »


1998 : Benjamin Knobil présente au Festival de Lausanne une adaptation théâtrale du petit livre des casseurs (9 représentations).

Septembre 1998 : Parution, aux Editions Galerie Claude Bernard Paris, d’un recueil de poèmes de Jean Paget, sous le titre poèmes de la pensée nomade, dans lequel on trouve le poème titré : A Max Fullenbaum.


2° trimestre 1999 : parution d’un article, aller-retour, dans la revue Sociétés dirigée par le Professeur Maffesoli qui avait beaucoup apprécié « Le petit livre des casseurs ».


9 décembre 1999 : lettre à l’en-tête du Ministère de la Culture, de Norbert Engel, Inspecteur général de l’administration des affaires culturelles, conseiller du Ministre et délégué pour la France du Groupe d’action international pour la mémoire de la Shoah (GAIS) :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« J’ai compulsé votre dossier avec un immense intérêt et je vais d’ailleurs le soumettre à Monsieur Cameo, conseiller du Ministère pour les Arts Plastiques mais je me doute bien que l’entrée « Shoah » est pour vous au moins aussi déterminante et c’est bien dans cet esprit que je vais penser votre travail. Il reste par ailleurs que pour l’édition du livre « mohair » une aide du C.N.L. n’est pas exclue… »


16 décembre 1999 : lettre de Norbert Engel :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Je reviens vers vous après avoir parlé de votre projet à David Cameo, conseiller du Ministre, chargé des Arts Plastiques. Il a été très impressionné par votre travail et souhaite que vous preniez RV avec lui (01……..). Cordialement votre… »


17 janvier 2000 : Note intérieure à l’en-tête du Ministère de la Culture, de Monsieur Cameo, Conseiller technique à Monsieur Michel Marian, secrétaire général :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« … Il s’agit d’un livre monument (mohair) qui se dissocie de double manière : un livre et par ailleurs une exposition dont la conception scénographique semble très pertinente… L’important pour Max Fullenbaum est bien évidemment que son texte soit publié avant même d’envisager le couplage avec une exposition. Il a pour se faire, déposé son manuscrit auprès de plusieurs éditeurs et les éditions de « l’Aube » se disent intéressés mais visiblement manquent de moyens pour répondre favorablement. C’est pourquoi, je souhaiterais que nous puissions l’aider pour faciliter sa mise en relation avec un éditeur.
Je souhaiterais par ailleurs que vous puissiez organiser conjointement avec la direction du livre et peut-être la Délégation au développement et à l’action territoriale, une réunion de travail pour examiner les possibilités de monter cette manifestation dans le cadre des bibliothèques publiques… »

Lettre morte : Monsieur Michel Marian n’a jamais répondu à cette note et ne s’est jamais manifesté.


12 au 24 juin 2000 : Installation de Max Fullenbaum à la Petite Galerie rue de Seine à Paris sous le titre : « ready-merde ou le globe oculaire ».
Annonce dans le Pariscope du mercredi 14 au mardi 20 juin 2000 page 184.


5 juillet 2000 : Attribution d’une bourse de 20 000, 00 francs par le Centre National du Livre pour le projet les comptables guerriers dont le titre deviendra Incantastrophes.

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)


9 juillet 2000 : Lettre de Jacques Derrida:

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Pardonnez-moi cet impardonnable retard. J’aurais dû vous remercier plus tôt. Ne fut-ce que pour vous dire combien j’ai aimé ce que vous m’avez écrit et que, malheureusement, étant donné la vie impossible que je mène, qui me mène, je ne peux rien faire d’autre de plus ou de mieux que vous lire et vous dire ma gratitude – et une certaine proximité. Du fond du cœur… »


18 février 2001 : lettre des éditions L’improviste :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Nous avons lu avec attention votre manuscrit Mohair mais nous regrettons de vous dire que nous n’en assurerons pas la publication. Mais qu’il soit bien clair que cette non-publication tient à une impossibilité de notre part. Ce livre m’a bouleversée et si j’ai tardé à vous répondre c’est que nous avons essayé d’en envisager la publication par tous les moyens. Ce qui nous en empêche : l’obligation où nous serions de changer notre maquette pour l’adapter à la hauteur des listes des pages paires. Le disparate ne serait encore rien si les coûts de fabrication n’étaient si importants… Ces considérations de petit éditeur vous agacent certainement mais il me semble que nous vous devons ces raisons pour vous redire que la qualité de votre livre n’est pas le moins du monde en cause : ce livre est beau, fort et plus que digne d’être publié.
J’aimerais vous demander une faveur : me prévenir lorsqu’il sera paru (et j’enragerais contre les contingences qui le donnent à un autre éditeur) car promis, j’en achète un paquet d’exemplaires.
Vous répétant mon émotion de lecture… »

Mohair sera édité en 2001 par Richard Meier, Voix Editions, sans aucune hésitation.


Janvier 2002 : Pour les dix ans du festival hip hop de Suresnes cités danse, Bruno Dizien s’inspire du petit livre des casseurs pour créer sa chorégraphie et il reprend une phrase du petit livre pour la titrer : j’ai un dragon dans l’oreille. Je participe aux répétitions. Un article du Monde, consacré au festival, reprend une autre phrase, j’écris sur le béton des souvenirs de pyramides mais sans jamais citer l’auteur de ces deux phrases.


15 au 18 octobre 2002 : Invitation par Carole Reich, du Conseil de l’Europe de Strasbourg, à participer au colloque enseignement de la Shoah et création artistique. A cette occasion, mohair est présenté avec d’autres ouvrages par la librairie Kléber de Strasbourg à l’entrée du colloque.


2003 : Titanic-banlieue est édité par les éditions Cent Pages de Grenoble.


Novembre 2003 : invitation à l’Ecole Supérieure de l’Image d’Angoulême par le Professeur Daniel Barthelemy pour une intervention sur un de mes textes.


Décembre 2003 : publication du texte « Ma dé-R-aison » dans la revue passage d’encres N° 19/20


22 mars 2005 : invitation à présenter « mohair » à des doctorants à l’Université François Rabelais de Tours (Professeur Daniel Leuwers).


12 juillet 2007 : Lettre du Théâtre National de Strasbourg :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Votre texte (mohair) a été lu avec intérêt par les membres de notre comité qui sont tous tombés d’accord pour apprécier la qualité de votre écriture, la densité des thématiques abordées et l’originalité de votre système graphique. Ici, comme dans Incantastrophes1, dont nous gardons le souvenir, la teneur poétique et la recherche, captivante, sur la mécanique répétitive « incantatoire » des mots, prime sur la théâtralité… »


4 octobre 2007 : lettre de Bertrand Badiou, éditeur de la correspondance Paul Celan-Gisèle Lestrange :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Merci cher Max Fullenbaum pour votre mohair, cet impressionnant ressassement des pleurs qui appellent, rappellent et alarment !
Je garde précieusement votre livre, votre poème dans la petite bibliothèque constituée autour de l’œuvre de Paul Celan. »


17, 18, 19 septembre 2007 : Publication d’une contribution, la résistance à la littérature comme préalable à la résistance en littérature, au colloque de l’A.I.C.L. sur le thème de « l’esprit de résistance en littérature » (Paul Celan).


17, 18, 19 septembre 2008 : publication de ma contribution, « Joseph Wolman, lettriste exclu, cinéaste interdit » au colloque de l’A.I.C.L. sur le thème de « la provocation en littérature ».


7 , 8, 9 juillet 2009 : parution de la contribution au colloque de l’A.I.C.L., « le contre-engagement de Piotr Rawicz », dont le thème était « les engagements ».


Décembre 2009 : publication d’un poème extrait de mohair « lied » dans l’anthologie des Poètes juifs de langue langue française de Jacques Eladan.


11 et 12 décembre 2010 : Publication d’une contribution, « le devoir de mémoire en se saoulant de mots » au colloque de l’A.I.C.L. sur le thème de « l’ivresse littéraire ». (Raymond Féderman).


8 janvier 2012 : Lettre du Professeur Didier Sicard :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Cette nouvelle édition de « Mohair » enrichie de votre postface et du DVD est remarquable. Elle rapproche au plus près de ce qui existe avant les mots.
On ne peut espérer un meilleur « tomb-hommage » aux six millions de juifs exterminés. Cette catastrophe continue de hanter le monde contemporain qui croit que c’est de l’histoire, alors que cela continue d’être de l’actualité… »


3 mars 2012 : publication d’une contribution au colloque de l’A.I.C.L., « adapter un livre à l’écran, une entreprise totalitaire ? » sur le thème « littérature et cinéma ».


Juillet 2013 : publication de ma contribution au colloque de l’AIC, typothérapie en bord de mer, ripple-marks de Jean Muno, sur le thème de la mer dans tous ses états.


6 aout 2013 : Lettre du Professeur Didier Sicard à la réception de « mot à mot oratorio » œuvre inédite :

Lettre adressée à Max Fullenbaum (PDF)

« Le DVD donne une force considérable aux mots regardés et parlés.
Ce train de mots qui s’épuisent en cherchant un sens qui est absent ;
Cette œuvre m’a bouleversé. Merci. »

Présentation de Max Fullenbaum de mot à mot oratorio (sur la pochette du du DVD) :

« Mot à mot oratorio, présenté sous forme de DVD, est un livre qui, simultanément, peut être entendu, lu et vu sur un ordinateur ou sur une télévision via un lecteur. Sa forme anticipe son sens pour évoquer sans rien montrer de ce qu’il ne faut voir qu’une seule fois pour savoir. Il se situe dans la lignée de mon livre précédent mohair, la mort phonétique, où l’ombre au travers du filigrane du papier et un curseur en caractères gras participaient également d’une vision surajoutée à une simple lecture. Aux deux caractéristiques de mohair – la lecture et la vision – mot à mot oratorio en rajoute deux autres : la voix et le mouvement. Les mots sont des traverses de voie ferrée. Chaque groupe de mots forme un convoi. Entre chaque convoi, un point cendré scelle le destin des mots anéantis. Ces convois défilent devant des gares, des stations, un haut-parleur les énonce, et il y en a quatorze pour relier ces voyages à un fonds culturel préexistant. »


22 septembre 2013 : parution sur la revue littéraire en ligne TEMPOREL d’un article consacré à Piotr Rawicz, un ciel de sang et de cendres, éditions Kimé.


1 et 2 août 2014 : Publication de ma contribution « le ne pas de Bartleby » au colloque de l’AICL sur le thème de l’écrivain et le Prince.


19 novembre 2014 : Parution aux Editions ligne de légende de Didier Benesteau de l’Art un chemin pour la paix, avec des textes de Max Fullenbaum, photos d’Hervé Desveaux consacrés aux artistes suivants : Hervé Desvaux, Florence de Ponthaud-Neyrat, Maître Akéji, Djoti Bjalava, Marcel Hasquin, Rachid Koraïchi, Solomon Rossine, Machiko Yanasé-Raveau.


2015 : Parution chez Voix Editions d’un recueil de nouvelles érotiques sous le titre de Soft and Hard avec un dessin en couverture et en page 4 de Sébastien Lallemand.


Septembre 2016 : parution aux Editions du Café Littéraire de la Terrasse de Ténia, journal d’un djihadiste avec des illustrations de Christian Roux.


Octobre 2016 : édition en préparation d’un conte pour enfants, l’arbre nourricier, avec des illustrations de Rachid Koraïchi aux Editions du Café Littéraire de la Terrasse.


En préparation : Nouvelle publication de mohair, la mort phonétique suivie de mot à mot oratorio et d’un commentaire par l’auteur : du pléonasme au rébus.


Nouvelle publication par les Editions du café de la Terrasse du Méconnaissant, première version de l’attaque du consommateur.